mardi 6 novembre 2007
Head over heels
Je savais qu'il n'avait jamais vraiment quitte mon coeur ni ma petite tete mais il y a repris une presence presque insolente depuis quelques jours.
Il a suffit de quelques mots, les miens et surtout les siens, sur ce blog, pour que tout remonte a la surface, a fleur de peau.
Ma raison me meprise et me martele: c'est juste la nostalgie de tes 17 ans, arrete tout de suite et concentre toi sur ta vraie vie.
Si je n'habitais pas a 20 000 km, je serais tentee de sauter dans un train et de me confronter au reel. J'ai deja failli le faire il y a 2 ou 3 ans. J'aurais tant a y perdre pourtant, surtout maintenant. Mais mon petit coeur n'avait pas battu aussi fort depuis belle lurette, meme mon souffle s'emballe en y pensant et j'ai des papillons dans l'estomac.
Pour quelques mots. Mais les siens ont toujours eu cet effet magique sur moi.
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3 commentaires:
Oh, I know so well what you mean. Oh, I know.
Mais que nous arrive-t-il, pourquoi ces emballements de coeur, ici et là, pourquoi ce vacillement des certitudes, le temps d'une hésitation, d'un vertige, et si...
Encore une fois, nous sommes synchro, Maurine!
Oui nous sommes synchro, j'etais en viree chez toi alors que tu etais chez moi. Je ne sais pas, c'est peut-etre la fievre apres tout, je suis au lit depuis 48h avec une (nouvelle) mechante grippe. Ou bien c'est justement mon corps qui traduit le mal-etre de ma tete...
Mais nous ne serions pas ces merveilleuses femmes toutes en sensibilité si nous n'avions pas ces vertiges, ces vacillements comme lola le dit si bien. Si, si, moi, la fidèle, la femme d'un seul amour, j'ai aussi mes emballements de coeur irraisonnés et incontrôlés. Et cela tient à quelques paroles, quelques mots si précieux....
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